L’analyse des besoins du client : une étape clé

L’analyse des besoins du client permet de comprendre la valeur que vos clients attendent de vos produits ou services dans le but de les satisfaire. Cependant, les besoins des clients peuvent être classés en deux parties : les besoins liés aux produits et les besoins liés aux services. L’entreprise devrait donc faire une étude sur ces deux besoins fondamentaux. Effectuer des recherches sur les besoins des clients On peut réaliser l’analyse des besoins des clients via des enquêtes, des entretiens, des groupes de discussion, une écoute sociale ou à travers des réseaux sociaux. L’analyse des besoins des clients implique une recherche approfondie dans votre secteur et le fait de poser à vos clients de nombreuses questions spécifiques. Il est très important de recueillir des informations détaillées sur vos clients grâce à une communication régulière et de vous assurer que vous pouvez répondre à leurs besoins individuels. Les besoins liés au produit Les besoins liés au produit peuvent concerner le produit lui-même (ses fonctionnalités, sa durabilité, sa robustesse, sa praticité, efficacité, etc) ou tout ce qui est en rapport avec le produit (son prix, son point de vente, etc). Si votre produit correspond aux besoins de vos clients, ils deviennent vos acheteurs potentiels et le fait de répondre aux besoins du client vous donne un avantage concurrentiel. Les besoins liés au service Les besoins liés au service font référence aux besoins d’assistance, de support et émotionnels des clients. Les attributs clés d’un bon service peuvent être une assistance concrète en temps réel, l’empathie (les clients restent fidèles aux marques qui les servent avec une attitude empathique),  la clarté et la transparence des informations sur les prix, la politique de remboursement, etc. Les clients ont aussi un besoin d’informations dans tous les canaux et les points de contact. Les marques devraient construire des pages FAQ, une base de connaissances, des vidéos pratiques pour une démonstration des produits ou pour éduquer le...

Comment choisir votre modèle de potelet en bois ?

Le potelet en bois est un équipement urbain aux usages multiples : il permet de réguler la circulation et les accès, de limiter le stationnement, ou tout simplement de matérialiser certaines zones. En bois, ce type de borne s’adapte particulièrement bien aux espaces naturels de la commune. Voici quelques conseils pour bien choisir vos potelets en bois. Le potelet en bois : fixe ou amovible ? En parcourant le site de votre fournisseur de collectivité, vous verrez qu’il existe deux types de potelet en bois : le potelet fixe, ou amovible. Ces deux bornes remplissent les mêmes fonctions. Toutefois, le potelet en bois amovible possède la particularité de pouvoir être retiré de son fourreau dans différents cas de figure : faciliter le passage des véhicules de secours ;favoriser l’accès des riverains ;permettre au propriétaire de la place de parking de se garer ;autoriser les livraisons. Dans ce cas, les usagers et professionnels concernés détiennent la clé permettant de déverrouiller le système de blocage de la borne. Quel traitement favoriser pour le bois ? Le potelet en bois peut s’avérer plus vulnérable aux conditions de l’extérieur qu’un poteau en acier ou en caoutchouc. Cependant, de nombreux modèles sont conçus pour résister à la fois à l’humidité, aux champignons et aux insectes. Ainsi, vérifiez que votre potelet en bois ait bien subi un traitement autoclave de classe IV, qui le protègera efficacement des intempéries, inondations, ou invasions d’insectes à larves xylophages. Le traitement autoclave imprègne le bois d’un produit protecteur non toxique, grâce à un procédé mécanique où le bois est placé sous vide avant d’être immergé dans la substance. Ce traitement vous permet d’investir dans des potelets en pin ou en bois de résineux, moins coûteux mais putrescibles à l’état brut. Enfin, vous pouvez sélectionner divers accessoires pour votre potelet en bois : bande réfléchissante, dispositif PMR… Les modèles existants sont très variés et vous permettent de répondre à tous vos...

Mobilier scolaire : Comment bien équiper une classe élémentaire ?

Du CP au CM2, les besoins des élèves évoluent en matière d’enseignement, et donc de mobilier scolaire. Comment bien équiper vos salles de classe et vous assurer que les enfants travaillent dans de bonnes conditions ? Un mobilier scolaire adapté à la taille des enfants A 6 ans, les élèves de CP quittent les bancs de la maternelle pour prendre place derrière leur bureau d’école. Celui-ci doit évidemment bien s’adapter à leur taille, qui n’est pas celle d’un adulte ! Au CP/CE1, les élèves ont besoin d’un mobilier scolaire de taille 4. Il faut veiller à équiper chaque classe avec les bureaux et les chaises qui correspondent à leur âge. En CM2, de nombreux enfants auront atteint la taille nécessaire à l’utilisation d’un mobilier de taille standard. Une configuration de classe plus flexible En fonction des activités, ou des exigences sanitaires, le plan de la classe peut être revu. On peut ainsi passer d’une configuration classique à une configuration en U, créer des îlots de travail, ou séparer chaque bureau pour les devoirs en classe. Il est donc préférable de choisir un mobilier scolaire léger, facile à déplacer. L’utilisation de bureaux individuels peut s’avérer préférable dans cette optique. Enfin, songez aux chaises conçues pour être placées sur les bureaux à la fin de la journée pour faciliter le nettoyage des sols. Une classe, plusieurs espaces Le temps où chaque classe ne présentait qu’un alignement de bureaux face à un grand tableau noir est révolu ! Aujourd’hui, les professeurs des écoles doivent penser leur classe comme un lieu où différents espaces se côtoient : le coin lecture, la zone des activités artistiques, le poste informatique…Il s’agit donc de réfléchir précisément au mobilier scolaire et aux différents équipements dont chaque classe va avoir l’usage : meubles à étagères, coffres de rangement, coussins de sol, tableaux magnétiques, tabourets techniques, casiers,...

La messagerie collaborative, un outil incontournable en entreprise

Les entreprises misent depuis de nombreuses années sur le courrier électronique, pour une communication plus efficace. Mais les systèmes actuels de messagerie collaborative apportent de nouvelles fonctionnalités, qui se révèlent incontournables pour le travail en équipe. Comment fonctionne ce type de solution ? Quels sont ses avantages ? C’est ce que nous vous proposons de découvrir ci-dessous. La messagerie collaborative facilite le travail en équipe L’utilisation d’une messagerie collaborative en entreprise facilite grandement le travail en équipe. Ce type d’outil permet aux différents collaborateurs d’échanger en temps réel et de partager rapidement des idées ou des documents stratégiques. La messagerie collaborative est le plus souvent couplée à un agenda ou un calendrier interactif, dédié à l’organisation de réunions de travail. De nombreux managers exploitent d’ores et déjà les potentialités de l’outil, qu’ils utilisent pour répartir les différentes missions. L’une des messageries collaboratives les plus connues est Teams, qui fait partie d’Office 365. Quant à Microsoft Exchange, c’est sans doute la solution de messagerie la plus complète à ce jour. Une messagerie pensée pour un travail collaboratif à distance Teams peut être associé à Office Web Apps et à Skype For Business pour optimiser les potentialités de votre messagerie collaborative d’entreprise. Armés de ces outils, vos collaborateurs peuvent échanger leurs idées quelle que soit la distance qui les sépare. Ils sont aussi productifs que si les équipes étaient réunies dans une même salle de travail ! Aujourd’hui, les solutions de messagerie collaborative peuvent être déployées sur site ou dans le cloud. Le nuage présente l’avantage de garantir une disponibilité et une accessibilité maximales, en tout lieu et à tout moment. Dans les deux cas, n’hésitez pas à vous adresser à une agence de transformation digitale spécialisée dans les messageries collaboratives, comme...

Farines spéciales : pourquoi et comment les choisir dans l’industrie ?

Dans une recherche de plus en plus forte de tradition et de naturalité, les consommateurs poussent les industriels à se tourner vers les farines spéciales. Farine de seigle, d’épeautre, de maïs et d’avoine font ainsi partie des nouveaux ingrédients utilisés dans les secteurs de la boulangerie, du baby food et de la pâtisserie. Suivez nos conseils pour choisir au mieux vos farines alternatives et les utiliser tout en répondant à la demande du marché. Des farines au goût authentique, pour des produits traditionnels Qu’il s’agisse de kamut, d’épeautre ou de seigle, les farines spéciales se reconnaissent principalement à leur goût prononcé et à leur saveur d’antan. Ce sont ainsi des ingrédients parfaits pour la préparation de pains à l’ancienne et de recettes traditionnelles à base de céréales. Outre le goût caractéristique de ce type de farine, le petit épeautre, l’avoine ou encore le lin sont des ingrédients intéressants pour l’appellation de produits industriels, qui gagnent ainsi en rusticité et en authenticité, de quoi répondre aux dernières tendances culinaires. Des farines plus digestes et assimilables Les farines spéciales sont parfois issues de blé ancien ou de céréales naturellement sans gluten. Ces ingrédients peuvent ainsi permettre aux industriels de préparer des pains et plats adaptés aux régimes spéciaux et intolérances alimentaires. Par exemple, le maïs, le riz et la châtaigne sont des farines naturellement sans gluten : un choix parfait pour l’alternative au blé dans la préparation de cakes, pains et pâtisseries. Le kamut et le petit épeautre sont des farines plus digestes, car moins transformées. Ces céréales peuvent aussi intégrer des laits végétaux et des préparations alimentaires infantiles. Différents degrés de raffinage à respecter selon l’utilisation Comme pour le blé, les farines spéciales présentent différents degrés de raffinage qui correspondent à leur blancheur, à leur élasticité et à leur taux de minéraux. Les farines de type 45 et 55 sont avant tout utilisées pour les pâtisseries, tandis que les farines complètes (110, 130 et 150) sont davantage conseillées pour les miches de pains et disposent d’une mie moins aérée, mais plus riche en nutriments. Les pains de campagne nécessitent pour leur part une farine T80, ou...