posté par Gilbert le 9 août 2016 | 0 commentaire 
Le crowdlending attire de plus en plus d’emprunteurs grâce à la rapidité et à la facilité d’accès au financement par rapport à la prestation des banques. Pour les investisseurs, ce système de financement participatif permet également d’obtenir un bon rendement. Pourtant, pour ne pas entrer dans les mauvaises affaires, des précautions sont à prendre. Capital à limiter Veillez à limiter le capital à placer par mesure de précautions. Le crowdlending est un investissement à long terme (2 à 6 ans) qui immobilise votre argent jusqu’à la fin du crédit. En plus, il présente un risque de défaut de paiement par le client qui ralentit la performance de votre investissement. En général, on recommande d’investir au maximum 20 % de son épargne sur un site de crowdlending si on veut réaliser de bonnes affaires. Optez pour une plateforme à forts capitaux Une plateforme qui dispose de fonds propres élevés a la capacité de recouvrir ses dettes sans toucher à l’argent des prêts. Il y a également plus d’assurance dans la poursuite des activités même en cas de difficultés. En outre, choisissez la plateforme qui sélectionne très bien ses clients et leurs projets. Dans ce sens, certaines plateformes exigent même plus de deux bilans avec des capitaux propres et une situation positive. Diversifier les crédits et les secteurs Pour un bon investissement en crowdlending, il est indispensable de diversifier les crédits. Votre argent financera et sera distribué à des entreprises ou projets différents, ce qui permet de diminuer l’impact des défauts. Il est également conseillé de diversifier les secteurs pour minimiser les risques et optimiser les rendements de votre épargne. Pour ce qui est de l’entreprise elle-même, contrôler ses bilans, sa capacité de remboursement est-elle déjà financée par une banque ? Tout cela toujours pour réduire les...
posté par Gilbert le 22 juillet 2016 | 0 commentaire
Qu’est-ce que le CPF ? Le compte personnel de formation (CPF) est un dispositif mis en place en début d’année 2015 et permettant de simplifier la formation dans les entreprises. Il remplace ce que l’on appelait autrefois le DIF (droit individuel à la formation). Cette nouvelle formule permet d’automatiser le versement des heures de formation, mais surtout de faciliter l’accès à la formation pour les employés, notamment dans les TPE et PME, où celles-ci sont rares. Les heures peuvent être conservées durant toute la vie professionnelle du salarié et ce même s’il change d’entreprise. Comment ça marche ? Les employés doivent s’inscrire sur le site http://www.moncompteformation.gouv.fr/. Ils devront rentrer différentes informations sur leur compte personnel, dont le solde d’heure de DIF dont ils disposent. Celui-ci se trouve sur l’attestation fournie chaque année par leur entreprise. Ils pourront alors chercher sur le site des formations correspondant à leurs besoins ou aspirations et s’y inscrire. Actuellement, les entreprises communiquent peu sur ce niveau dispositif, même si elles ont l’obligation de le mettre en place. N’hésitez donc pas à prendre contact avec votre employeur ou le service des ressources humaines de votre établissement pour mieux connaitre vos droits et être orienté dans la création de votre compte personnel. Quelle formation choisir ? Le choix est assez libre concernant les formations. Certains vont choisir de dépenser rapidement leurs heures, en faisant des formations courtes et régulièrement. Par exemple une formation à la comptabilité pour améliorer les performances de la société ou une formation de manager pour un employé qui monte en grade. Elles auront pour but d’améliorer le travail de chacun. Les plus économes pourront cumuler plusieurs journées pendant des années et accéder à une formation plus longue, qui leur permettra de changer de métier (il n’est jamais trop tard), par exemple une formation de sophrologie, ou qui leur permettra de lancer leur propre entreprise ou encore de se former à une nouvelle langue pour préparer une mutation à l’international. La formation contribue alors à une véritable (r)évolution pour le...
posté par Gilbert le 30 juin 2016 | 0 commentaire
La chirurgie esthétique du nez est l’une des interventions les plus complexes qui soient. Il y a quelques années encore, le taux de ré opération était très élevé, avoisinant les 30%. Pourtant, le nez est l’une des parties les plus importantes du visage, en tout cas celle que l’on voit en premier. Pas étonnant que tant de personnes fassent des complexes à cause d’un nez trop long, trop écrasé, ou encore bosselé. Heureusement, la rhinoplastie bénéficie aujourd’hui d’évolutions spectaculaires, qui permettent de mieux répondre aux attentes des patients. Le docteur Raspaldo, spécialiste de la chirurgie esthétique, nous parle des progrès de la rhinoplastie. Docteur Raspaldo, quels problèmes caractérisaient la chirurgie traditionnelle du nez ? Traditionnellement, la chirurgie esthétique du nez ne se pratiquait que par résection, c’est-à-dire que le chirurgien enlevait, coupait. Après l’intervention, le nez était souvent plus petit, avec une pointe déformée, car la technique ne permettait pas réellement d’anticiper le résultat final. Il arrivait aussi que les patients respirent moins bien à l’issue de l’opération, qui générait par ailleurs d’importants œdèmes. Heureusement, cette époque est révolue. Pouvez-vous nous donner un aperçu des principales innovations ? Tout d’abord, la technique de rhinoplastie chirurgicale que j’emploie vise à limiter la douleur, ce qui fait de la chirurgie du nez une intervention peu douloureuse. La cryothérapie et les drainages lymphatiques permettent de réduire les œdèmes de manière appréciable. Par ailleurs, on sait aujourd’hui contrôler avec précision la position des éléments constitutifs du nez, grâce à l’utilisation d’une charpente cartilagineuse, faite de sutures et de greffons. Le chirurgien reconstitue donc une sorte d’armature en cartilage qui assure aux corrections leur stabilité. Qu’en est-il de la pointe du nez ? Elle bénéficie aussi de la technique des greffes, qui permet plus de précision dans le remodelage et le repositionnement. L’effet obtenu avec cette technique de chirurgie esthétique du nez est bien plus naturel que par le passé. Y a-t-il d’autres avancées à prévoir ? Tout à fait. La technique en chirurgie esthétique fait d’incessants progrès. Le remodelage des os du nez par la technique des ultra-sons me semble très prometteur et devrait permettre une précision accrue. De même, on sait désormais travailler avec des greffons de cartilage modulable, provenant du patient lui-même, ce qui évite les problèmes de...
posté par Gilbert le 20 avril 2016 | 0 commentaire
Les nouvelles réglementations en vigueur sur les conditions sociales sont nombreuses pour cette année 2016. En effet, depuis le 1er janvier 2016 certaines lois ont été votées et améliorées dans le social en entreprise. Ces nouvelles recommandations sont consultables sur les sites officiels et elles doivent être appliquées par les entreprises. En voici quelques grandes lignes. Le SMIC obligatoire passe de 9,61 euros à 9,67 euros Selon le gouvernement, la hausse légale de salaire pour cette année est de 0,6 % à cause de l’inflation. Par rapport à cette situation, le gouvernement a imposé l’augmentation du SMIC horaire de 9,61 euros à 9,67 euros bruts. Donc, le salaire mensuel au SMIC sera de 1466,62 euros bruts pour 35 heures par semaine. Soit 9,10 euros de plus par mois par rapport à l’année 2015. Il est bon de savoir que le SMIC mensuel net sera alors aux environs de 1130 euros. La complémentaire santé pour tous : le Puma Le Puma est la protection universelle maladie mise en vigueur depuis le 1er janvier 2016. Cette démarche consiste à assurer une prise en charge des frais de santé pour tout le monde, sans ruptures de droits avec une continuité dans le temps. Cela, même en cas de changements de situation professionnelle, familiale et de résidence. Cette protection universelle est faite pour toutes personnes de plus de 18 ans ayant des droits majeurs. Cette mesure est aussi obligatoire pour les PME et les TPE et même pour les personnes sans activités professionnelles. Le RSA activité et la prime pour l’emploi remplacés par la prime d’activité Cette nouvelle prime a remplacé depuis le début du mois de janvier la prime pour emploi et le RSA activité. Cette prime est spécialement destinée pour les personnes ayant une activité professionnelle dont le salaire ne dépasse pas un certain plafond. Son obtention est régie par des conditions précises. La prime peut être touchée si une personne perçoit au minimum 70 % du SMIC soit environ 890 euros net mensuel. Par contre, les étudiants, les stagiaires et les apprentis ne pourront pas bénéficier de cette prime...
posté par Gilbert le 23 février 2016 | 0 commentaire
Chaque marque ou site marchand déploie autant d’effort pour influencer les consommateurs potentiels. Pour vous aider à vous démarquer de vos concurrents, voici quelques tendances qui porteront certainement leurs fruits cette année : de l’implication des consommateurs à la culture d’entreprise en passant par l’omniprésence contextuelle. Mettez le consommateur à l’épreuve La première tendance se traduit par l’épreuve du statut c’est-à-dire la soumission de la notoriété de votre société à l’appréciation des clients. En basant sur le postulat que les consommateurs sont toujours en quête d’exclusivité, autant en profiter pour les mettre à l’épreuve. Le principe consiste à lancer un défi aux clients. Seuls les meilleurs méritent de bénéficier de votre service ou d’un produit exclusif. Lee Jeans, la marque de denim, a ainsi fait concourir ses clients à un jeu. Le gagnant a eu droit à un jean, qui retient la chaleur, baptisé Magma Fusion. Pour ce genre de concours, il faut être féroce, car plus le jeu est difficile, plus votre marque gagnera en célébrité. Misez sur l’omniprésence contextuelle Une marque peut profiter de l’omniprésence contextuelle pour qu’elle puisse se trouver partout, à tout moment et surtout dans de bon contexte. L’équation suivante résume cette tendance : un canal innovant additionné au contexte nuancé avec un bon endroit au bon moment produit une publicité grandissante. Ainsi, en appliquant cette formule, vous avez la possibilité de vous exposer partout, tout le temps, mais vous n’avez plus le droit de vous concentrer uniquement sur les médias. Cherchez les besoins et les envies de vos consommateurs et rapportez-les sur de nouveaux canaux que vous avez inventés. Faites de votre culture d’entreprise un de vos atouts La culture interne d’une entreprise tient un rôle tout aussi important que les produits vendus par cette même marque. Ainsi, les conditions de travail des cadres travaillant pour le compte d’un site marchand, rapportées par un article au New York Times, reçoivent l’avis favorable des clients. Certaines enseignes séduisent également leurs clients en mettant en avant les traitements accordés à leurs salariés. C’est le cas d’un magasin localisé aux États-Unis qui a accordé un jour de repos à ses salariés le jour du Black...
